C’est bien qu’une année sur deux au moins je reprenne la bonne habitude des voeux “papier” envoyés dans une belle enveloppe et par courrier postal.
Parce que c’est quand même agréable de recevoir du courrier dans sa boîte aux lettres non ?
Mes cartes de voeux 2015 ont donc été faites main, écrits mains et envoyées mains !
J’ai choisi un modèle en kirigami (aucun élément rajouté mais juste des traits de plis et de coupe…) et un pliage en accordéon permettant de créer des ombres intéressantes quand on éclaire la carte par devant…
Pour les motifs, j’en ai fait certains à la main (cas de la carte de voeux avec les coquelicots ou celle avec les poules), d’autres (cas des cartes avec motif art décor ou gingko) étaient imprimés avec, néanmoins, quelques éléments dessinés au feutre argenté, parce que c’est la fête quand même !
Ces cartes de voeux ont aussi été l’occasion pour moi de tester la découpe avec mon plotter sur un tracé imprimé. Je ne sais pas si je suis bien claire mais cela consiste à imprimer un motif (en l’occurrence le 2015 de la carte) avec une imprimante normale puis de faire la découpe avec le plotter de sorte qu’elle soit bien calée sur les motifs imprimés au préalable.
Cela nécessite donc de créer des repères de calage sur la feuille, qui seront imprimés avec le motif. Lorsqu’on lance la découpe avec la machine, celle-ci commence par scanner les repères pour être bien raccord avec le motif à découper.
Cela marche bien mais il reste un inconvénient non négligeable : la perte de papier !
D’abord, les repères de calage ne sont pas très discrets donc il faut retailler la carte pour les supprimer. Ensuite, il y a toute une zone qui ne peut être découpée du fait des repères (partie hachurée ci-dessous…). Autant de papier gâché, d’arbres coupés pour rien etc…
Résultat, pour une feuille A4, on perd 1,5 cm de marge sur chaque bord…
Conclusion, il va me falloir investir dans une imprimante A3 pour essayer d’optimiser un peu mieux le papier… Et contribuer au développement durable !